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Le Monde de la nouvelle face à la théorie littéraire et à l’histoire littéraire

Depuis que je fais des recherches sur la nouvelle (et cela remonte loin : ne m’a-t-on pas appelé un jour le Mathusalem de la nouvelle ?), j’ai toujours été confronté à deux – gros – problèmes : d’une part, me situer par rapport à un discours théorique tenu par d’aucuns sur la notion de nouvelle, discours qui m’a toujours laissé  sceptique, d’autre part, saisir la portée du  traitement réservé à la nouvelle par les historiens de la littérature, traitement que j‘ai  toujours également estimé peu fondé. Et, au fil  du temps, les choses ne se sont pas arrangées : les discours se sont multipliés, les historiens campent sur leur position.

 

Dans le passé, j’ai déjà eu souvent l’occasion d’aborder la discussion de ces deux approches, et je n’ai  jamais caché mon sentiment  à leur égard.  Il m’est venu  en ces années 2000 une dernière fois  l’idée  de dresser une sorte d’état de la question : soit tout ce qu’on pourrait dire du sujet  à la lumière de mes études sur la nouvelle des XVII° et XVIII° siècles, comme celles sur la nouvelle des XIX° et XX° siècles. Après trois Tours du monde de la nouvelle consacrés aux textes*,  voici un quatrième  dévolu au questionnement sur ces textes.

 

 

les voies stériles de la théorie littéraire

 

 

Si le genre de la nouvelle est né au XV° siècle, la réflexion sur la nouvelle est apparue pour la

première fois au XVII° siècle : en 1656, un auteur,  familier de Mme de Lafayette, Jean-Regnault de Segrais, propose ainsi dans son recueil Les Nouvelles françoises la première

définition du genre : « Il me semble que c’est la différence entre le roman et la nouvelle… ». D’autres voix suivront aux XVII° et XVIII° siècles, dont ce Discours sur les nouvelles de

1739 du marquis d’Argens. Mais ce n’est qu’à partir du XIX° siècle que les auteurs s’expriment de plus en plus volontiers sur le genre qu’ils ont choisi. De 1800 (« Cet ouvrage

n’est pas un roman mais une nouvelle », Lioncel, ou l’émigré, nouvelle historique de Louis de

Bruno)  à 1899 (« La nouvelle n’exige pas comme le roman… », Le Livre des Nouvelles), en

passant par cet Essai sur les nouvelles de 1814 (Nouvelles parisiennes d’Etienne F.  Bazot). Et

la tendance n’ira qu’en s’accentuant au XX° siècle.  Avec par exemple en 1902 (Le Roman en

 

 

miniature. Contes et Nouvelles (in Théorie des genres littéraires de Cl. M.Vincent), en 1950

(Notes pour une histoire et une poétique de la nouvelle de Marcel  Raymond), en 1975 (De la

nouvelle  de Daniel  Boulanger), en 2000 (Nouvelles de la nouvelle de François  Bouchardeau). Le plus souvent, la réflexion tourne autour de trois questions : Qu’est-ce

qu’une nouvelle ?, en quoi la distingue-t-on du roman ? du conte ? Pendant tout un temps, la

réflexion est restée le fait des nouvellistes mêmes, qui, à l’occasion de préfaces ou autres

textes d’opinion, estiment devoir s’expliquer sur une pratique. Leur intervention s’inscrit là

dans le cadre d’une politique de Défense et d’Illustration  de la nouvelle (qui trouve en

Marcel  Arland une de ses meilleurs avocats : « La nouvelle a son génie propre, qui n’est pas

celui du roman… », 1944). A partir de la seconde moitié du XX° siècle, la réflexion devient

davantage l’affaire des théoriciens de la littérature, qui abordent, pour reprendre un mot à la

mode,  la problématique de la nouvelle non seulement dans des articles mais encore dans des

essais (Avec parfois des déclarations assez ahurissantes, telle cette sortie, en 1988, de Daniel

Grojnowsky, auteur d’un ouvrage sur la nouvelle  qui fait référence pour certains : «La

nouvelle est un genre mineur. »). A un jugement de type individuel  on substitue  la mise en

place d’une réflexion que l’on veut normative, parce qu’elle cherche à fixer les codes d’un

genre. A une approche personnelle du sujet, les théoriciens, qui la rejettent, la jugeant inopérante, lui préfèrent une approche dogmatique.

 

 

Il ne m’aura pas fallu attendre longtemps lorsque je commençais à m’intéresser à la nouvelle

pour me rendre compte que si la nouvelle avait peu de lecteurs, tout le monde par contre

savait ce qu’était une nouvelle. Autant dire : tout le monde avait son avis sur la question. Mais

attention : un avis qu’il ne partageait avec quasiment personne tant les opinions tranchées,

divergentes, contradictoires (et de quel ton parfois péremptoire les énonçait-on !). Pour l’un,

la nouvelle est un sous-produit de roman ; pour l’autre, la nouvelle n’est surtout pas un roman.

Pour l’un, la nouvelle est une histoire ; pour l’autre, elle n’est pas une histoire.  Pour l’un,

c’est par le sujet que se différencient la nouvelle et le conte ; pour l’autre, c’est par les

dimensions. Etc., etc.  En  somme,  chacun de proposer les éléments d’une définition du genre

sur la seule foi  de sa propre conception des choses,  les auteurs qui se fient à leur pratique, les

théoriciens qui se reposent sur des principes critiques établis. Le tout est de voir si les

éléments proposés sont probants et en nombre suffisant.

 

 

Disons d’emblée qu’ils ne le  sont guère  tant ils prêtent le plus souvent le flanc à la critique.

Ou l’on s’appuie sur un trop petit nombre d’exemples, de surcroît presque toujours les mêmes (l’inculture nouvellistique des théoriciens est parfois sidérante), qui rendent caduques  les

affirmations énoncées en regard de ce que d’autres textes pourraient nous apprendre.

 

Ou l’on se perd dans les généralités élevées au rang de certitudes : des constructions  de l’esprit qui ne résistent pas à la réalité des textes –  ne parlons pas, dans les deux cas, du

jargon employé  que  nous infligent certains.

 

 

Des exemples ?

– bâtir une poétique de la  nouvelle à partir du seul Décaméron parce qu’il demeure un

texte exemplaire. Comme s’il n’y en  avait pas  d’autres …  (Le Décaméron date  –

quand même – de plusieurs siècles…) Viendrait-il à l’idée de fonder une poétique du

roman sur un seul roman ?

 

 

– refuser la qualité de nouvelliste à des noms comme ceux de Marcel Arland ou Paul Morand

sous le prétexte qu’ils ne s’inscrivent pas dans une tradition, celle de Maupassant.

– à l’inverse en dénier à celui-ci la qualité sous le prétexte que la nouvelle ce n’est pas une

histoire mais un instantané.

ne pas prendre en considération cet autre fait que la nouvelle a depuis ses origines une

évolution, qu’elle a une histoire.

 

Conçue de la sorte, la réflexion sur la nouvelle révèle encore d’autres limites :

– elle n’envisage qu’une forme de nouvelle : la nouvelle blanche, soit la nouvelle littéraire.

Nouvelle fantastique, nouvelle de science-fiction, nouvelle policière, nouvelle érotique,

nouvelle amusante : connais pas ! Mais quel est ce critère qui autorise  à réduire ainsi le

champ de l’analyse ?

– elle fait la part belle à l’exemple étranger tenu davantage que l’exemple français pour un

modèle. Ainsi dans une étude  sur la nouvelle, font l’objet de développement   six auteurs

étrangers : Borgès (vingt  références), Cortazar (vingt-huit), Kafka (treize), Poe (vingt-deux),

Tchekhov (dix-sept) alors que deux des nouvellistes majeurs français du XX° siècle sont à

peine cités : Marcel Arland (deux), Daniel Boulanger (deux)   –  Paul Morand,  avec zéro

référence  lui, étant semble-t-il hors sujet. (1) En fait, le seul Français pris en compte est

Maupassant : autre exemple de limite de la réflexion, comme si l’auteur de Boule de suif était

le seul à pouvoir être distingué.

– elle gonfle et oublie tout à la fois le rôle de certains. Ainsi Baudelaire est  présenté par

tous comme un des rares théoriciens  français de la nouvelle, alors qu’il n’a fait que

traduire un texte de Poe sur les nouvelles de Nathanaël Hawthorne. Ainsi les théoriciens

rechignent-ils à se reporter aux  nombreuses considérations que font les nouvellistes

mêmes dans leurs préfaces ou autres pages. Ainsi,  qu’ils soient français, belges,

québécois, suisses,  les théoriciens n’envisagent ja   mais la réflexion qu’à partir de leur

littérature.  Il n’est même que le choix des exemples étrangers qui suscite la réserve :

pourquoi cet oubli d’une Katherine Mansfield (le point de départ de la nouvelle-instant),  d’un

Scott Fitzgerald ?

 

Pareille réflexion sur la nouvelle n’est que la résultante d’une construction de l’esprit qui

repose sur un corpus déficient mais qui prétend cerner les lois  d’une forme de nouvelle

« idéale ». Or ’il n’y a pas une forme de nouvelle, mais plusieurs comme l’a écrit il y a déjà

longtemps Paul Morand.

 

Tant qu’on ne se résoudra pas à accepter cette vérité, on ne proposera que des leurres.

 

 

les carences de l’histoire littéraire

 

 

Passer de l’approche « théorique » » à une approche  « historique » conduit à ce curieux

constat, à savoir : alors que le théoricien, l’essayiste, croit, même  si c’est parfois pour la

contester, à la notion de nouvelle parce qu’il cherche à la définir, l’historien, lui, en viendrait

à l’éliminer du champ de ses investigations, accumulant/alignant en outre à son sujet les contre-vérités.

 

Combien de fois l’ai-je fait savoir cette maigre place qui est réservée à la nouvelle dans les

 

 

histoires de la littérature française : quelques lignes, quelques pages (comme dans l’une

d’elles  ces vingt-neuf pages sur un total  de  cent quatre-vingt-onze !(2)).   Rares sont les

histoires  de la littérature qui consacrent un chapitre particulier à la nouvelle : en 1988, j’en comptais quatre sur soixante-neuf ! Quatre sur soixante-neuf !

Aux yeux des historiens de la littérature, la nouvelle ne bénéficie d’aucun statut. Tout se passe

comme si on ne pouvait imaginer qu’il y ait une histoire  de la nouvelle. Pis, on la nie :

 

Il serait peu utile de rattacher ici de force les nouvelles balzaciennes à des prédécesseurs dont il ne se soucia

point, et plus encore de prétendre que le genre de la nouvelle ait connu un  évolution régulière, avant Balzac ou

depuis, selon ces courbes évolutives marquant progrès et décadence que se plaisait à tracer le critique Ferdinand Brunetière. Le genre de la nouvelle, s’il en est un, est trop mal séparé de la chronique, du récit, du roman, pour que ce jeu puisse avoir la moindre validité. (3)

 

…il n’est guère possible de parler d’une histoire de la nouvelle  [après la guerre 1940-1945], puisque la « 

nouvelle », à proprement parler n’existe pas et qu’elle se dissocie en textes très divers et dispersés… (4)

 

Pis encore, c’est la notion de nouvelle qu’on nie :

 

Qu’est-ce que la nouvelle ? Force est d’abandonner les certitudes confortables des définitions générales et

d’écouter la réponse de Cervantès, don l’allure ironique ne doit  pas cacher la justesse ? « Pour ainsi dire

rien. »

Sans désinvolture, on pourrait accepter cette formule. […] Rien,  car la nouvelle, c’est de la non-littérature.  (5)

 

Des genres littéraires, le roman, le théâtre, la poésie, la nouvelle serait donc  le seul à ne pas

avoir d’histoire !:

 

Si l’on a bien établi les origines du genre et précisé son développement aux XV° et XVI°

siècles (Quoique maintenant des médiévistes se mettent en tête de faire apparaître le genre

avant le XV° siècle,  propos auquel il est difficile de souscrire tant cela force les faits), c’est à

partir du XVII° siècle que les choses se brouillent.

 

Suivons siècle par siècle la nouvelle aux prises avec l’histoire de la littérature.

– le XVII° siècle : si depuis 1970 une histoire de la nouvelle aux XVII° (et XVIII° siècles)

existe (quel beau sujet de thèse ce fut…), si depuis une bonne décennie les dix-septiémistes

l’étudient  dans ses détails (Poétique de la mort dans la nouvelle classique, 1660-1680,

d’Edwige Keller, 1999, La Nouvelle historique en France à l’âge classique, 1657-1703, de

Christian Zonga, 2007…), rien de cela  ne trouve d’écho dans les histoires de la littérature.

Pourtant il y en aurait  à dire : –  la première définition du genre (voir plus haut) – le terme de

« nouvelle » présent dans le titre de plus d’une centaine d’œuvres après 1656 – les nouvelles

écrites par un auteur qui incarne l’image de la romancière classique : Mlle de Scudéry – une

œuvre qui permet de voir tout ce qui sépare la conception de la nouvelle à l’époque de  notre

conception puisque La Princesse de Clèves de Mme de Lafayette,  texte tenu  à présent pour

le premier roman psychologique à la française,  est au XVII° siècle une nouvelle. (Question :

mais comment imaginer  qu’une des œuvres maîtresses de la littérature  française  ne soit

qu’une nouvelle ?)

– le XVIII° siècle : ici tout est fait pour laisser croire que la nouvelle est absente de la scène

littéraire : – rien sur la nouvelle du début du siècle (le terme de « nouvelle » figure toujours dans le titre d’un grand nombre d’œuvres, dont ces Cent nouvelles nouvelles,

1735,  de Mme de Gomez) –  rien sur le succès considérable  de recueils de nouvelles de

la fin du siècle, tels ceux d’un Marmontel, d’un  Baculard d’Arnaud, d’un  Florian… –

pis : le terme de » nouvelle » se voit gommé à présent dans le titre de deux œuvres, toujours lues et éditées : Le Diable amoureux, 1772, de  Jacques Cazotte (pour Le Diable

 

 

amoureux, nouvelle espagnole), Les Crimes de l’amour, 1799, de Sade (pour Les Crimes

de l’amour, nouvelles héroïques et tragiques).

– le XIX° siècle : tenu pour être l’âge d’or de la nouvelle, il est pourtant le siècle sur lequel on

répand le plus d’erreurs : – il aurait donné naissance à la nouvelle : « La nouvelle est un  genre

littéraire qui n’existait pas avant Mérimée.» (6) – il serait le siècle de la nouvelle fantastique

(mes recherches actuelles me disent que sur un total de plus de  onze cents  recueils

répertoriés la part du fantastique se réduit à une quinzaine (7)) – on rejette régulièrement  de la

production de nouvelles toute une série d’œuvres qui l’étaient à l’époque (et qui le sont

toujours) : Atala et René de Chateaubriand, Carmen et Colomba de Mérimée , les Lettres de

mon moulin de Daudet… et ces œuvres où le terme de « nouvelle » a de nouveau disparu du

titre : Les Filles du feu de Nerval (pour  Les Filles du feu, nouvelles), Spirite de Théophile

Gautier (pour Spirite, nouvelle fantastique)… – on réduit presque uniquement la portée de la nouvelle du siècle à l’examen de deux œuvres, celles de Mérimée et de Maupassant.

– le XX° siècle :   à force de répéter que le XIX° siècle est le siècle des maîtres, des textes

exemplaires, on a fini par réduire à rien la part du XX° siècle : la nouvelle du XX° siècle  ne

vit pas seulement à l’ombre du roman (combien révélateur  l’intitulé de ce chapitre consacré

aux nouvellistes : Les Romanciers de l’insignifiant (8)), mais  – et surtout – dans l’ombre de la

nouvelle du XIX° siècle – on signale à peine les particularités du genre nées au XX° siècle : la

nouvelle conçue comme l’expression d’un instant de vie, le recueil organisé comme un

ensemble et non un rassemblement  de textes épars – on ne signale pas  les œuvres

connues de tous  qui sont des nouvelles : Le Mur de Sartre, Le Silence de la mer de Vercors,

Le Passe-muraille de Marcel Aymé… – on n’arrive pas à dégager, comme au XIX° siècle, des

incarnations du genre  comme Mérimée et Maupassant : chaque période ayant ses noms :

d’abord  Paul Morand, ensuite Marcel Arland, ensuite Daniel Boulanger …, des noms oubliés

dès  la suivante – on ne met en avant les nouvelles d’un auteur que s’il est reconnu comme

romancier (tels un  Michel Tournier, un  Le Clézio…)  – on ne peut concevoir  de mettre en balance les nouvelles d’un auteur célèbre avec celles d’un auteur  qui ne l’est pas ou peu (tel

cet André Stil, auteur de quatorze recueils de 1949  à 1996, qu’un chercheur m’avait reproché

de placer avant  Boris Vian, lorsque je lui écrivis pour lui demander de me dire les textes de

Stil qu’il avait lus, il se garda bien de me répondre…) – on ne traite jamais ici aussi que de

nouvelle blanche : nouvelle de science-fiction, nouvelle policière, nouvelle fantastique même,

connais toujours pas ! – à la fin du siècle on en arrive, alors qu’on n’a jamais publié autant de

nouvelles,  à contester la notion de nouvelle pour la remplacer par le concept de « texte »  –

on se limite à la nouvelle française : nouvelle francophone, connais à peine ! Il n’y a pas à

dire : le titre de mon article de 1988, « De la (très) mauvaise place  de la nouvelle française

dans les histoires et les manuels de littérature » (9),  est toujours d’actualité.

 

 

 

S’interroger sur la démarche de ces  théoriciens ou  de ces historiens, c’est d’abord  essayer de

comprendre – sans chercher à verser dans la polémique – ce qui ne fonctionne pas quand on

aborde  l’étude ou  l’histoire de la nouvelle.  Et au-delà se demander pourquoi l’on refuse /

l’on conteste / l’on néglige/ etc., etc. un terme qui existe depuis sept siècles, qui désigne un si

grand nombre de textes, que les auteurs  ont toujours choisi de privilégier…

 

NOTES

*Un tour du monde de la nouvelle en 80 recueilsUn tour du monde de la nouvelle du XX° siècle en 80 textes  (Le Liseur de nouvelles,  La Nouvelle de A à Z, ou un troisième tour de la nouvelle de langue française, Auxerre, Ed. Rhubarbe, 2008

  1. Voir Daniel Grojnowski, Lire la nouvelle, 1993.
  2. 2. Voir Madeleine Borgomano et Elisabeth Ravoux Ballo, La Littérature française du XX° siècle. Le Roman et la nouvelle, 1995.
  3. Dorothy F. McCormick, Les Nouvelles de Balzac, 1973, p.19.
  4. Le Roman et la nouvelle, p.170.
  5. Didier Souiller, La Nouvelle en Europe de Boccace à Sade, 2004, p.320.
  6. Albert Thibaudet, Histoire de la littérature de 1789 à nos jours, 1936, p.213.
  7. Voir mon Inventaire de la nouvelle française de 1800 à 1899 – répertoire et commentaire, Garnier-Flammarion, 2015
  8. La Littérature française, histoires et perspectives, 1990.
  9. Dans mes Etudes sur la nouvelle de langue française, 1993
Publié dans53 ans de publications